MAISON INDIVIDUELLE, LA VARENNE SAINT-HILAIRE, 2018
Projet abandonné
Client : privé
Surface : 120 m²
Projet : ajout d’une chambre et d’une salle de bain, réfection de la toiture
Mission : complète
Le pavillon est situé dans un environnement agréable lové dans un méandre de la Marne, arboré et en majorité constitué de tissu pavillonnaire de qualité, typique de la banlieue parisienne.
Les propriétaires souhaitent avant tout refaire leur toiture. Celle-ci fuit. Et tant qu’à refaire la toiture, autant gagner en volume, voire construire un niveau de plus. En effet l’une des chambres est trop exiguë, il manque du rangement et une seule salle de bain met la famille en retard le matin.
Autre souhait : vivre davantage sur le jardin. L’extension s’implanterait avantageusement contre le mitoyen et dissimulerait le projet de construction des voisins.
Le budget modeste oblige à faire des choix. Soit l’on profite de la réfection de la toiture pour gagner en surface et en volume habitable en étage, soit l’on investit le jardin à RDC mais l’on se contente de réparer la toiture.
3 partis pris sont esquissés.
1. Surélévation
La cage d’escalier trouve un prolongement naturel sur un niveau pour aller chercher l’espace et la lumière hors de l’enveloppe existante. Déplacée un niveau plus haut, la chambre parentale devient suite et nidifie sur la toiture. Le volume en bois offre de larges baies, la chambre accueille le soleil matinal de l’Est et va chercher au loin la végétation des bords de Marne, tandis que la salle de bain offre l’intimité du cœur de parcelle.
2. Extension de l’étage
A l’étage les chambres, au RDC les espaces communs. L’espace nuit manque de place, il s’étend alors sur l’extérieur. A la fois prolongement et miroir, tant fonctionnellement que formellement, l’extension est habillée d’inox poli-miroir et reprend la pente de la toiture existante.
3. Extension du RDC
Le jardin est l’axe de développement de la maison. Les regards, les mouvements et les usages y trouvent une échappée. Un socle élève le jardin au niveau des espaces intérieurs et devient support du salon, qui s’étend à l’extérieur les jours de beau temps. L’extension ancrée au sol est faite de béton, tout en ouvrant le plus largement sur le végétal.
MAISON INDIVIDUELLE, LA VARENNE SAINT-HILAIRE, 2018
Projet abandonné
Client : privé
Surface : 120 m²
Projet : ajout d’une chambre et d’une salle de bain, réfection de la toiture
Mission : complète
Le pavillon est situé dans un environnement agréable lové dans un méandre de la Marne, arboré et en majorité constitué de tissu pavillonnaire de qualité, typique de la banlieue parisienne.
Les propriétaires souhaitent avant tout refaire leur toiture. Celle-ci fuit. Et tant qu’à refaire la toiture, autant gagner en volume, voire construire un niveau de plus. En effet l’une des chambres est trop exiguë, il manque du rangement et une seule salle de bain met la famille en retard le matin.
Autre souhait : vivre davantage sur le jardin. L’extension s’implanterait avantageusement contre le mitoyen et dissimulerait le projet de construction des voisins.
Le budget modeste oblige à faire des choix. Soit l’on profite de la réfection de la toiture pour gagner en surface et en volume habitable en étage, soit l’on investit le jardin à RDC mais l’on se contente de réparer la toiture.
3 partis pris sont esquissés.
1. Surélévation
La cage d’escalier trouve un prolongement naturel sur un niveau pour aller chercher l’espace et la lumière hors de l’enveloppe existante. Déplacée un niveau plus haut, la chambre parentale devient suite et nidifie sur la toiture. Le volume en bois offre de larges baies, la chambre accueille le soleil matinal de l’Est et va chercher au loin la végétation des bords de Marne, tandis que la salle de bain offre l’intimité du cœur de parcelle.
2. Extension de l’étage
A l’étage les chambres, au RDC les espaces communs. L’espace nuit manque de place, il s’étend alors sur l’extérieur. A la fois prolongement et miroir, tant fonctionnellement que formellement, l’extension est habillée d’inox poli-miroir et reprend la pente de la toiture existante.
3. Extension du RDC
Le jardin est l’axe de développement de la maison. Les regards, les mouvements et les usages y trouvent une échappée. Un socle élève le jardin au niveau des espaces intérieurs et devient support du salon, qui s’étend à l’extérieur les jours de beau temps. L’extension ancrée au sol est faite de béton, tout en ouvrant le plus largement sur le végétal.
MAISON INDIVIDUELLE, LA VARENNE-SAINT-HILAIRE (94), 2018
Projet abandonné
Client : privé
Surface : 120 m²
Projet : ajout d’une chambre et d’une salle de bain, réfection de la toiure
Mission : complète
Le pavillon est situé dans un environnement agréable lové dans un méandre de la Marne, arboré et en majorité constitué de tissu pavillonnaire de qualité, typique de la banlieue parisienne.
Les propriétaires souhaitent avant tout refaire leur toiture. Celle-ci fuit. Et tant qu’à refaire la toiture, autant gagner en volume, voire construire un niveau de plus. En effet l’une des chambres est trop exiguë, il manque du rangement et une seule salle de bain met la famille en retard le matin.
Autre souhait : vivre davantage sur le jardin. L’extension s’implanterait avantageusement contre le mitoyen et dissimulerait le projet de construction des voisins.
Le budget modeste oblige à faire des choix. Soit l’on profite de la réfection de la toiture pour gagner en surface et en volume habitable en étage, soit l’on investit le jardin à RDC mais l’on se contente de réparer la toiture.
3 partis pris sont esquissés
1. Surélévation
La cage d’escalier trouve un prolongement naturel sur un niveau pour aller chercher l’espace et la lumière hors de l’enveloppe existante. Déplacée un niveau plus haut, la chambre parentale devient suite et nidifie sur la toiture. Le volume en bois offre de larges baies, la chambre accueille le soleil matinal de l’Est et va chercher au loin la végétation des bords de Marne, tandis que la salle de bain offre l’intimité du cœur de parcelle.
2. Extension de l’étage
A l’étage les chambres, au RDC les espaces communs. L’espace nuit manque de place, il s’étend alors sur l’extérieur. A la fois prolongement et miroir, tant fonctionnelle que formelle, l’extension est habillée d’inox poli-miroir et reprend la pente de la toiture existante.
3. Extension du RDC
Le jardin est l’axe de développement de la maison. La cage d’escalier trouve un prolongement naturel sur un niveau pour aller chercher l’espace et la lumière hors de l’enveloppe existante. Déplacée un niveau plus haut, la chambre parentale devient suite et nidifie sur la toiture. Le volume en bois offre de larges baies, la chambre accueille le soleil matinal de l’Est et va chercher au loin la végétation des bords de Marne, tandis que la salle de bain offre l’intimité du cœur de parcelle.
